Écologie Sonore (ONF)
Télérama, « Les Cinq perles du webdocumentaire repérées pour vous », 30 décembre 2010
Radio-Canada, 15 juin 2010
Le Devoir, 21 mai 2010
Châtelaine, « Pollution sonore », Josée Blanchette, 21 mai 2010
Hour, « Sonic trash or treasure? », Meg Hewings, 20 mai 2010
Voir, Brève Cinéma, Manon Dumais, 11 mars 2010
L’interview.fr, Lancement du webdocumentaire Ecologie Sonore
Novae, Écologie Sonore, 11 mars 2010
Le Devoir, Un webdocumentaire de l’ONF pour comprendre les sons qui nous entoure, Fabien Deglise, 10 mars 2010
La Presse, « Immersion dans le son à l’ONF », Philippe Renaud, 10 mars 2010
Radio-Canada, 15 mars 2010
Radio-Canada, 10 mars 2010
TNM et Médias Sociaux
La Presse, « Twitter, Facebook, YouTube: expériences théâtrales sur le web », Alexandre Vigneault, 16 janvier 2010
L’Île
Graffici, « Raconter Percé en cinéma », Jean-François Aubé, mars 2010
« Le film L’île d’Alexandra Guité participe à La Nuit du Cinéma de Percé 2010 »
CBC, All in a weekend, 27 mars 2010
« Pour prolonger la mémoire: Le film L’île d’Alexandra Guité participe à La Nuit du Cinéma de Percé 2010 », Le Havre, 24 mars 2010
Radio-Canada, À la une, Hélène Cantin avec A. Guité, 25 mars 2010
« Hommage à Gilles Carle et une trentaine de courts métrages à la Nuit du cinéma à Percé », 15 mars 2010
La Presse, « 5 questions à Alexandra Guité », Anabelle Nicoud, 15 août 2009
Le Devoir, «Le temps long et le temps court », Josée Blanchette, 28 août 2009
Les Arts de la Résistance
Dossier de presse format pdf
CBC, « Manifestations religieuses contre le documentaire Les Arts de la Résistance d’Alexandra Guité » 3 novembre 2006
Piqueteros
Deux articles dans l’autre journal :
Des hommes de conviction N° 227 – mars 2004
La Cueca Sola : la danse de la lutte chilienne Laila Maalouf
La Cueca, c’est la danse nationale du Chili. Mais c’est aussi un chant de révolte et de combat, un hymne de contestation né de la douleur d’un peuple, devenu le symbole de la lutte contre la dictature du Général Augusto Pinochet. Le film La Cueca Sola est le récit de cinq femmes chiliennes écorchées par ce régime, et qui, aujourd’hui, cherchent à unir leur peuple dans la démocratie.
Ce court-métrage de la réalisatrice Marilú Mallet est le premier tourné au Chili après vingt-neuf ans d’exil. « À travers ce film, je veux sonder une réalité à laquelle j’ai échappé », avoue-t-elle. Pourquoi la Cueca Sola ? Parce que ces femmes ont été condamnées à danser la cueca seules, avec pour unique partenaire un tissu blanc rappelant leur époux disparu ou assassiné.
À son retour au Chili, Marilú Mallet revoit les personnages qui ont marqué son enfance et ne peut s’empêcher de se questionner sur la façon dont ces femmes ont survécu à ce bouleversement politique. Leur douleur est immense, mais l’espoir qu’elles portent en elles encore plus grand. Elles ont réussi à vaincre leur peur, cultivée par dix-sept ans de terrorisme d’État, et à s’activer pour dénoncer les injustices qu’elles ont vécues et empêcher que de telles histoires d’horreur ne se reproduisent. L’arrestation de Pinochet à Londres en 1998 leur a permis de retrouver la force de s’exprimer, de lutter pour la démocratie et le respect des droits de la personne, chacune à sa façon.
Moyenei Valdés, qui a perdu son père à l’âge de douze ans, exprime par la chanson son désir de contestation. Carolina Tohá, elle, s’est lancée dans la politique; elle est aujourd’hui députée du Parti pour la Démocratie. Il y a aussi Isabel Allende, amie d’enfance de Marilú Mallet et fille de l’ancien président socialiste Salvador Allende, qui a préféré se tuer plutôt que de se rendre aux putschistes, le 11 septembre 1973; Estela Ortiz, camarade d’école, qui a perdu son père, disparu, et son mari, décapité; Monique Hermosilla, professeure retraitée qui a connu la torture dans les camps de prisonniers. Toutes ces femmes sont semblables parce qu’elles n’agissent pas en tant que victimes; « ce sont des femmes engagées et solidaires qui se sont transformées en acteurs importants du retour de la démocratie au Chili actuel », explique la réalisatrice. En première partie, est présenté le documentaire Piqueteros, un film d’Alexandra Guité sur les revendications des travailleurs sans emplois argentins, les piqueteurs. Le gouvernement leur donne l’équivalent de 80$ par mois pour les décourager à chercher du travail, ce qui fait que 60% de la population argentine vit sous le seuil de la pauvreté. Les piqueteros demandent la chute du pouvoir actuellement en place et la destitution du président, et revendiquent le droit au travail.
L’autre Journal Juin 2003
Lutte des sans-emploi : Des rives du Rio Plata à celles du Saint-Laurent, Patrick Lamoureux
Depuis le 19 décembre 2001, ça brasse fort dans la capitale argentine et, au-delà de la couverture superficielle des grands médias, se trame une expérience humaine aussi percutante que la répression policière qu’elle subit. On a pu en prendre conscience le 15 mai dernier lors d’une conférence tenue à l’Uqam et organisée par le Mouvement autonome et solidaire des sans-emploi (MASSE) et par Alternatives.
L’événement faisait suite à une première rencontre, au Forum mondial de Porto Alegre au début 2002, entre militants québécois pour les droits des travailleurs et certains de leurs pairs argentins et visait à resserrer la coopération et les échanges entre les deux sociétés. L’intention avouée par Benjamin Simard-Lachance du MASSE est de faire bénéficier les mouvements populaires québécois de l’expérience et de l’inventivité militante des citoyens argentins.
Leur efficacité certaine en matière de résistance civile nous a été montrée en début de conférence par le court-métrage Piqueteros d’Alexandra Guité qui était à Buenos Aires durant les moments névralgiques de la crise argentine (déc. 2002 fév.2003). Le film brosse un portrait de la crise, de la répression brutale qui l’accompagne et de la créativité politique et communautaire de deux mouvements piqueteros : Barrios de Pie et Aníbal Verón. Deux représentantes de ces organisations étaient sur place pour communiquer l’essentiel de leur vécu.
Radio-Canada, « Un documentaire québécois sur les sans-emploi argentins »18 juin 2003
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